date de sortie : 31 janvier 2001
Réalisé par : Christophe Gans
résumé :
Dans la région de Gévaudan, une bête tue hommes, femmes et enfants dans des circonstances affreuses. Le chevalier Grégoire de Fronsac et son fidèle ami l’indien Mani, sont envoyés afin de résoudre ces meurtres par l’abattage de cette créature de l’enfer. Ils vont faire la connaissance de merveilleux personnages et de d’autres moins attachants tout au long de cette monstrueuse aventure remplie d’action et de surprises. Parviendront-ils à éliminer cette chose qui cause tant de peur aux habitants de Gévaudan.
analyse et critique du film le pacte des loups
Le langage cinématographique
Le champ
Entrée dans le champ :
Après la messe à l’église, Marianne se dirige dans sa calèche et l’on voit Grégoire courir vers elle pour finalement entrer dans le cadre de l’image où la jeune fille se trouve.
Sortie du champ :
Lorsque l’assemblée discute de ce que pourrait être réellement la bête et qu’elle en conclut que les services du capitaine Duhamel sont inefficaces, Grégoire qui l’endroit, on le voit sortir du champ de l’image.
Le champ-contre-champ :
Grégoire de Fronsac, voit pour la première fois Marianne de Morangias, il va parler avec elle sur le balcon, on les voient chacun en alternance discuter à l’autre.
Le hors-champ :
Thomas et Grégoire discutent ensemble dans le bois, la caméra capte le personnage qui parle dans son champ mais ne montre pas l’autre personnage à qui il s’adresse.
La profondeur de champ :
Lorsque le film commence, on voit un vieux monsieur qui est le marquis et l’on voit aussi un valet qui entre dans la même pièce pour lui parler, la marquis apparait très clairement dans l’écran mais l’autre personnage derrière lui est très flou.
Les plans descriptifs
Le plan de grand ensemble :
La caméra capte dans son cadre, alors que thomas ouvre la fenêtre un beau gros paysage où l’on voit le coucher de soleil, le ciel et un grand étendu de forêt.
Le plan d’ensemble :
La caméra cadre la vue du château d’assez loin, on voit une grande partie de sa façade extérieur, de sa grande cours avec l’entrée et deux grosses fontaine d’eau.
Le plan moyen :
Alors que le chevalier Grégoire, cogne à la porte de la maison où se trouve Marianne dans le village, la caméra le cadre en entier et puis cadre une partie de la maison et de son cheval.
Le plan américain :
Mani se tient debout dans la forêt pour admirer le loup blanc qui se situe sur une roche et la caméra le capte jusqu’aux genoux.
Le plan rapproché taille :
Marianne est assis sur son cheval dans les bois à parler avec Mani et Grégoire, elle est captée par la caméra jusqu’à la taille.
Le plan rapproché épaule :
Après savoir battu avec plusieurs hommes sous la pluie, il y a un plan rapproché épaule qui se fait sur l’indien Mani.
Le gros plan :
Dès le début, le premier personnage qu’on voit écrit une lettre, puis un gros plan est fait sur son visage qui prend tout le cadre de l’image.
Le très gros plan :
Alors qu’un jeune garçon décrit ce à quoi semblait ressembler la bête à Fronsac, il y a un très gros plan qui se fait sur le portrait de la bête que dessine le chevalier.
Le plan subjectif :
Alors que les trois amis Grégoire, Mani et Thomas se rendent dans la maison de débauche, un homme leurs ouvre la porte pour les inviter à entrer et dès ce moment on devient les yeux des personnages.
Les angles de prise de vue
La vue en plongée :
Lors de la grosse battue des loups, Marianne et Grégoire course à cheval dans la forêt et à un moment ils passent sous la caméra située au-dessus d’eux.
La vue en contre-plongée :
un groupe de loups morts au sol après que la battue aie eu lieux est filmé avec les chasseurs à l’arrière, la caméra se situe à la hauteur des loups et se trouve au-dessous des chasseurs, ce qui leurs donnent un aspect de force.
overhead shot :
Fronsac, demande à la jeune fille blessée, ce qui c’est produit dans la forêt et ce qui est arriver à son frère, elle regarde au plafond mais c’est comme si elle regardait la caméra située complètement en haut de sa tête.
Les mouvements de caméra
Le panoramique horizontal :
alors que tout les chasseurs se rendent en direction pour la grande battue, la caméra filme quelque personnages au bas de la colline et pivote de gauche à droite pour revenir sur les personnages principaux qui se trouve à avancer sur le dos de leur cheval.
Le panoramique vertical :
Après qu’un homme annonce la disparition de ses enfants à l’église, tout le monde se retrouve à l’extérieur puis la caméra fait un mouvement du haut du bâtiment en descendant vers le bas tout en demeurant fixe.
Le travelling
Travelling avant :
Après que Fronsac c’est réveillé de son cauchemar où il se fait planter une lame dans la chambre de Sylvia, il se lève et sort de la chambre ensuite la caméra s’approche progressivement du visage de la femme qui fait semblant de dormir.
Travelling arrière :
Après avoir parler et bu un breuvage avec Sylvia, le chevalier de Fronsac se réveille dans un rêve et voit la femme dans le miroir derrière lui, la caméra se trouve devant Grégoire pour finalement s’éloigner derrière lui graduellement.
Travelling vertical :
Le chevalier, se rend dans la salle où se trouve le cadavre de la bête exposée, la caméra opère un déplacement du haut vers le bas pour faire apparaître Grégoire dans l’image.
Travelling latéral :
Mani se lève de sa chaise après avoir été interpelé par Fronsac pour venir montrer à la table de l’assemblée le poisson à fourrure et lors de son déplacement la caméra le suit de son départ à sa destination.
Travelling circulaire :
il n'y a pas de travelling circulaire, la caméra ne fait pas le tour d'un personnage dans aucune scène
Zoom avant :
Après l’enterrement de Fronsac, la femme prénommée Sylvia et deux autres hommes viennent pour le déterrer et juste après un zoom avant se fait sur une croix accrochée au mur situé devant une bougie et un rideaux rouge.
Zoom arrière :
il n'y en n'a pas
Le split screen : Il n'y en n'a aucun
la règle des tiers :
après avoir fait la connaissance des membres de l'assemblée, Jean François redonne le dessin à Grégoire, le chavalier lui dit merci puis à ce moment il se trouve sur les points de forces à la droite de l'écran.
l'éllipse :
dans l'image on observe l'indien de très proche qui semble songeur et en même temps, en image juxtaposé on voit un loup se faire dépecer après la chasse.
transition sonore :
après avoir examiner le corps d'une femme morte toute nue, une musique de piano s'amorce pour terminer la scène et commencer une autre où il y à vraiment une personne qui joue du piano.
continuité dans la direction :
dès leur arriver dans la région de Gévaudan, Grégoire et Mani suivent le trajet jusqu'au château de marquis d'Apcher et tout au long ils suivent la même direction jusqu'à ce qu'ils arrivent à destination.
surimpression :
Fronsac s'apprête à faire l'amour avec Sylvia qui est étendue sur le lit toute nue et alors que la caméera la capte son corps en partie son sein se transforme en montagne et son visage aussi comme en image juxtaposé sur l'autre pour montrer que le temps s'écoule.
erreur :
lorsque l'indien se bat dans le repère de la bête avec tout les méchants, il se fait tiré dessus par Jean François et au sol alors qu'il se retourne pour le regarder son tatoo se trouve à la gauche alors que lorsqu'il se bat avec la bête il est à sa droite.
APPRÉCIATION :
j'aime beaucoup ce film, il est très diversifié et le scénarios est très bien choisi. moi qui d'habitude n'aime pas les films français celui là je ne m'en rend même pas compte, il est aussi bien fait qu'un film américain.
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